Parfois les mots libérateurs sortent comme le dessin, à peine lisibles, ils semblent absurdes, ils disent pourtant, ils disent ce que je voudrais taire. C’est sans doute cela même qui devrait être lu. Ce ne sont pas toujours les miens. Souvent, même, ils sont dans l’air du temps, dans l’allure de quelqu’un, dans un échos d’histoire. Ce sont les mots perdus qui apparaissent grâce au dessin.